Et dimanche , seule face au Lac Rose …
le WE prochain sera l ‘occasion de visiter l’ île aux coquillages … Vous aurez un reportage …..
Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize… Répétez! dit le maître Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize. Mais voilà l’oiseau-lyre qui passe dans le ciel l’enfant le voit l’enfant l’entend l’enfant l’appelle: Sauve-moi
Joue avec moi oiseau! Alors l’oiseau descend et joue avec l’enfant Deux et deux quatre… Répétez! dit le maître et l’enfant joue l’oiseau joue avec lui… Quatre et quatre huit huit et huit font seize et seize et seize qu’est-ce qu’ils font ? Ils ne font rien seize et seize et surtout pas trente deux de toute façon et ils s’en vont. Et l’enfant a caché l’oiseau dans son pupitre et tous les enfants entendent sa chanson et tous les enfants entendent la musique et huit et huit à leur tour s’en vont et quatre et quatre et deux et deux à leur tour fiche le camp et un et un ne font ni une ni deux un à un s’en vont également.
Et l’oiseau-lyre joue et l’enfant chante et le professeur crie: Quand vous aurez fini de faire le pitre ! Mais tous les autres enfants écoutent la musique et les murs de la classe s’écoulent tranquillement. Et les vitres redeviennent sable L’encre redevient eau Les pupitres redeviennent arbres La craie redevient falaise Le porte-plume redevient oiseau Textes poétiques Jacques Prévert
Il dit non avec la tête
mais il dit oui avec le cœur
il dit non au professeur
il est debout
on le questionne
et tous les problèmes sont posés
soudain le fou rire le prend
et il efface tout
les chiffres et les mots
les dates et les noms
les phrases et les pièges
et malgré les menaces du maître
sous les huées des enfants prodiges
avec des craies de toutes les couleurs
sur le tableau noir du malheur
il dessine le visage du bonheur
Jacques Prévert
http://ousmanesow.com/mac/index.htm
Une visite formidable … je vous invite à ouvrir le lien …
Entre Dakar et le nouvel aéroport une ville ….
Les manifestations sont de plus en plus nombreuses ,dans tous les secteurs: eau ,assainissement, pollution, circulation ,goudronnage des routes…Bourses des étudiants (1 mort cette semaine)
Dans le cadre de la classe; une leçon portant sur la fabrication d’une lampe à pétrole …
C est aussi utopique que de demander à un inuit de fabriquer un chapeau en paille
Mais vous connaissez tous mon entêtement , aussi
depuis 1 mois , je tente de réunir tous les éléments
une bouteille en verre ( très rare),un bouchon de liège (encore plus rare),une mèche de coton,une feuille d ‘aluminium, du pétrole ! Enfin , pour lester…. répétez après moi ce petit mot nouveau…des coquillages !!!!
Le résultat a soulevé un indicible mouvement de joie.
Dakar, fondée en 1857 par le capitaine de vaisseau Protet, commandant supérieur de Gorée, fut la seule véritable ville en Afrique Noire française jusqu’en 1939. Un village lébou y existait déjà depuis longtemps cependant.
Le développement commercial rendant l’île de Gorée trop exiguë, un premier industriel, Jaubert (exportateur d’arachides), installa, peu avant 1846, son entreprise dans la presqu’île du Cap Vert (non loin de l’actuelle place de l’Indépendance, autrefois place Protet).
En 1846, une mission catholique s’implantait à l’emplacement actuel de l’Hôtel de Ville.
Après le transfert en 1857 de l’armée, précédemment cantonnée à Gorée, Dakar connut un développement lent, malgré les efforts du commandant puis colonel du génie Pinet-Laprade qui établit en 1862 les plans d’une cité aux rues se coupant presque toutes à angles droits, de part et d’autre de l’actuelle place de l’Indépendance.
En novembre 1866, les paquebots de la ligne du Brésil inaugurèrent les premières installations portuaires.
photos internet
Située à 85 km au sud de Dakar, Mbour c’est une petite ville qui explose véritablement au niveau démographique avec plus de 160.000 habitants. Au départ, petit port de pêche, Mbour est devenu l’un des plus important port de pêche artisanale du Sénégal. Ce sont des centaines de pirogues qui, quotidiennement assurent une grande partie du commerce, de la vie de cette ville.
Les touristes retiendront surtout cette vision incroyable du retour des pêcheurs, cette activité inénarrable, inmanquable!
Vers 17 heures, les pirogues rentrent au port; Après déchargement, le poisson est vendu frais ou sèché.
Les camions frigorifiques attendent à quai, feront la route vers l’aéroport pour que le poisson soit à Rungis (Paris) à l’aube
Au coucher du soleil, quand les pirogues rentrent au port, les filets débordant de poissons, c’est un spectacle exceptionnel que de voir cette foule s’activer. Un labeur difficile, âpre mais toujours exécuté dans la bonne humeur…
Mbour, deuxième port de pêche du Sénégal.
Il faut bien avouer que Mbour est un véritable capharnaum d’activité, de commerce, de marchés; une ville qui a poussé trop vite et qui manque d’infrastructures ne fut-ce que routières. En période d’hivernage, les rues défoncées, souvent de simples pistes de sable sont inondées, nauséabondes…mais quels spectacles!!!
La proximité de Saly a également développé Mbour au niveau du tourisme. Hôtels, restaurants, bistrots, gîtes ne se comptent plus! Souvent d’excellentes adresses soit dit en passant! Au niveau administratif aussi, Mbour est devenu une ville importante. C’est également la « cité dortoir » de la plupart des Sénégalais qui travaillent dans le tourisme.
Quelques vues de la nationale qui traverse Mbour.
Halle aux poissons d’Mbour.
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Quelques vues de rues d’Mbour où l’activité est permanente. Le commerce est roi!
Les gosses jouent dans les rues, les menuisiers travaillent, les boutiques foisonnent. Mbour: une ville Africaine typique.
Marché et artisan au village artisanal, fabrique de Jembés.
Le dispensaire situé à l’orée de Gd Mbour et le centre culturel.
Ci dessous , mes clichés …on ne peut pas photographier les lieux publics …