Le cancre…

 

 

 

 

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Il dit non avec la tête

mais il dit oui avec le cœur

 il dit oui à ce qu’il aime

il dit non au professeur

il est debout

on le questionne

et tous les problèmes sont posés

soudain le fou rire le prend

et il efface tout

les chiffres et les mots

les dates et les noms

les phrases et les pièges

et malgré les menaces du maître

sous les huées des enfants prodiges

avec des craies de toutes les couleurs

sur le tableau noir du malheur

il dessine le visage du bonheur

Jacques Prévert

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La lampe à pétrole

Dans le cadre de la classe; une leçon portant sur la fabrication d’une lampe à pétrole …DSC03533

C est aussi utopique que de demander à un inuit de fabriquer un chapeau en paille

Mais vous connaissez tous mon entêtement , aussi

depuis 1 mois , je tente de réunir tous les éléments

une bouteille en verre  ( très rare),un bouchon de liège (encore plus rare),une mèche de coton,une feuille d ‘aluminium, du pétrole !  Enfin , pour lester…. répétez après moi ce petit mot nouveau…des coquillages !!!!DSC03532

Le résultat a soulevé un indicible mouvement de joie.

La lampe a disparu  ….DSC03534

Naissance de Dakar

HISTOIRE DE DAKAR

Histoire de Dakar

La véritable histoire de Dakar

Dakar, fondée en 1857 par le capitaine de vaisseau Protet, commandant supérieur de Gorée, fut la seule véritable ville en Afrique Noire française jusqu’en 1939. Un village lébou y existait déjà depuis longtemps cependant.

Le développement commercial rendant l’île de Gorée trop exiguë, un premier industriel, Jaubert (exportateur d’arachides), installa, peu avant 1846, son entreprise dans la presqu’île du Cap Vert (non loin de l’actuelle place de l’Indépendance, autrefois place Protet).

En 1846, une mission catholique s’implantait à l’emplacement actuel de l’Hôtel de Ville.
Après le transfert en 1857 de l’armée, précédemment cantonnée à Gorée, Dakar connut un développement lent, malgré les efforts du commandant puis colonel du génie Pinet-Laprade qui établit en 1862 les plans d’une cité aux rues se coupant presque toutes à angles droits, de part et d’autre de l’actuelle place de l’Indépendance.
En novembre 1866, les paquebots de la ligne du Brésil inaugurèrent les premières installations portuaires.

Marché Kermel

La place Protet (actuelle place de l'Indépendance)

La rue Vincens

  • 1750 : Le naturaliste français Michel Adanson établit le premier croquis du Cap Vert où est mentionné le nom de Dakar

Mbour

photos internet

Située à 85 km au sud de Dakar, Mbour c’est une petite ville qui explose véritablement au niveau démographique avec plus de 160.000 habitants. Au départ, petit port de pêche, Mbour est devenu l’un des plus important port de pêche artisanale du Sénégal. Ce sont des centaines de pirogues qui, quotidiennement assurent une grande partie du commerce, de la vie de cette ville.

  

Les touristes retiendront surtout cette vision incroyable du retour des pêcheurs, cette activité inénarrable, inmanquable!

 

Vers 17 heures, les pirogues rentrent au port; Après déchargement, le poisson est vendu frais ou sèché.

  

Les camions frigorifiques attendent à quai, feront la route vers l’aéroport pour que le poisson soit à Rungis (Paris) à l’aube

 

 

 

 

  

  

Au coucher du soleil, quand les pirogues rentrent au port, les filets débordant de poissons, c’est un spectacle exceptionnel que de voir cette foule s’activer. Un labeur difficile, âpre mais toujours exécuté dans la bonne humeur…

  

Mbour, deuxième port de pêche du Sénégal.

 

 

 

  

  

Il faut bien avouer que Mbour est un véritable capharnaum d’activité, de commerce, de marchés; une ville qui a poussé trop vite et qui manque d’infrastructures ne fut-ce que routières. En période d’hivernage, les rues défoncées, souvent de simples pistes de sable sont inondées, nauséabondes…mais quels spectacles!!!

 

La proximité de Saly a également développé Mbour au niveau du tourisme. Hôtels, restaurants, bistrots, gîtes ne se comptent plus! Souvent d’excellentes adresses soit dit en passant! Au niveau administratif aussi, Mbour est devenu une ville importante. C’est également la « cité dortoir » de la plupart des Sénégalais qui travaillent dans le tourisme.

 

  

Quelques vues de la nationale qui traverse Mbour.

Halle aux poissons d’Mbour.

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Quelques vues de rues d’Mbour où l’activité est permanente. Le commerce est roi!

 

Les gosses jouent dans les rues, les menuisiers travaillent, les boutiques foisonnent. Mbour: une ville Africaine typique.

 

 

Marché et artisan au village artisanal, fabrique de Jembés.

 

Le dispensaire situé à l’orée de Gd Mbour et le centre culturel.

 

Ci dessous , mes clichés …on ne peut pas photographier les lieux publics …

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Conchyliculture …

 Quand on parle de Concarneau au Sénégal ….
  Région de La Somone, proche de Mbour
Norbert Jan a implanté des naissains d'huîtres français depuis plus de quinze ans au Sénégal.
  • Norbert Jan a implanté des naissains d’huîtres français depuis plus de quinze ans au Sénégal. 

Le Breton Norbert Jan a importé des naissains d’huîtres français qu’il a acclimatés aux eaux chaudes de la Somone, un petit village touristique sur la Petite-Côte, au Sénégal. Un pari fou auquel personne ne croyait. Mais dans la mangrove africaine, tout est possible.DSC03482

« Beaucoup n’y croyaient pas », lâche l’homme, en jetant un regard vers son parc à huîtres. Deux ramasseurs de coquillages les trient soigneusement sous un soleil de plomb. Les grosses seront sorties de l’eau dans six semaines. Les petites retournent dans leurs filets.

Norbert Jan se targue de faire partie de la race des obstinés. Un Breton, un vrai. À 55 ans, ce Morbihanais de Crac’h peut se féliciter d’avoir déjoué les pronostics les plus pessimistes des experts français de la conchyliculture… « On m’a dit que je ne réussirai jamais à faire des huîtres au Sénégal », lâche l’inébranlable entrepreneur.DSC03483

Il est vrai que son projet peut paraître, de prime abord, ambitieux. Importer des naissains français pour les faire flotter au milieu de la mangrove africaine : il fallait oser. Surtout que dans cette lagune, les eaux oscillent entre 25 et 35 degrés en fonction des saisons.

« On dit que la chaleur tue les huîtres », ironise Norbert Jan. Le quinquagénaire a mis plusieurs années à apporter la preuve du contraire. Sans renoncer. « J’ai écumé tout le littoral africain à la recherche du bon endroit pour me lancer. Mauritanie, Guinée, Côte d’Ivoire… Deux de mes projets en Côte d’Ivoire ont été contrecarrés par les coups d’État à répétition… »

C’est finalement à la Somone qu’il pose ses valises, sur la côte au sud de Dakar. Son idée : voir comment y réagissent les naissains d’huîtres de l’Île-de-Ré, entre autres. « J’ai appris année après année, ça n’a pas été facile », avoue-t-il. Norbert Jan a dû s’y reprendre à plusieurs fois avant d’arriver à un résultat correct. « Parfois il y avait des crues, et de l’eau à 38° arrivait sur les lignes. L’écart de température était alors fatal. » Mais pas de quoi le décourager.DSC03485 (1)

Près de la lagune, au milieu des palétuviers luxuriants, s’étalent désormais ses 3,5 ha de filets, flottant à l’aide de polystyrène recyclé. Là, au milieu des pélicans et des sternes, coule une eau douce qui provient des sous-sols. Y parvient l’odeur iodée de l’océan, présent à quelques pas de là et séparé de la lagune par une étroite plage de sable.

Le bruit des vagues s’estompe. « Dans cet espace d’eau douce, il y a du phytoplancton à foison et peu d’espèces pour le manger. Cela, combiné à l’eau chaude et d’autres paramètres que j’ai réussi à maîtriser avec le temps, favorise un grossissement rapide des huîtres », détaille l’ostréiculteur, qui cultive aussi d’autres coquillages, des moules, des bulots…DSC03491 (1)

« Notre presqu’île de Quiberon »

Tous ces facteurs de croissance favorisent une maturité après quatre à six mois passés dans les lignes. Près de quatre fois plus rapide qu’en France. « D’octobre à juin, j’ai trois cycles de maturation. Parfois, cela déborde un peu sur la saison des pluies. La production d’un hectare équivaut à celle de douze hectares en Europe. » Un roulement à faire pâlir les ostréiculteurs les plus efficaces.

Les mauvaises langues diront qu’ils préfèrent la qualité à la quantité. Dommage, car les huîtres de Norbert, alias le Breton, accompagnées de leur citron, font affluer résidents et touristes chaque week-end pour les dégustations. Elles se vendent à Dakar, dans les plus grands restaurants de la capitale. Et il les exporte même dans la sous-région. Cette année, il tente un partenariat avec des revendeurs libanais, qui profitent de leur passage au Sénégal pour emporter ses huîtres.DSC03473 (1)

« On a notre presqu’île de Quiberon ici », s’amuse Norbert Jan. Il entretient une réputation solide qu’il s’est forgée depuis son installation, en 2000. Au bord de l’eau, des clients dégustent, unanimes, les fameux coquillages. Une pirogue passe dans un bourdonnement régulier. « J’ai aménagé un chenal pour ne pas qu’ils touchent les lignes », explique-t-il. La lagune, c’est aussi lui qui l’a façonnée en partie, en se faisant aider bien sûr. « On a déblayé. Là où se trouve le restaurant aujourd’hui, il y avait de l’eau. Ça a été un sacré chantier. » Norbert Jan ne regrette pas le temps où il était restaurateur-traiteur à Crac’h. « Je faisais des mariages, des réceptions. Mais j’ai fini par vendre. Je parcourais l’Afrique. J’avais envie de m’installer sur ce continent. »

Et de moucher les rabat-joie qui ne croyaient pas en son projet. Depuis, il voit passer devant son restaurant des files de gens, surtout pendant la saison sèche. Sa ferme conchylicole se trouve dans une réserve naturelle aménagée en sentier écologique. Elle offre l’occasion aux promeneurs de s’arrêter déguster tout en admirant le paysage. À 4 000 francs CFA la douzaine (6 €), c’est une invitation au voyage. De gros barbecues servent à les faire griller.

Une autre manière de s’initier au secret scellé de ses huîtres de l’impossible.

Pollution …

Dakar, 2 eme ville la plus polluée au monde selon l’Organisation Mondiale de la Santé

Santé au Sénégal: baisse de la mortalité, maladies non transmissibles et endémiques, malnutrition constituent de véritables problèmes

Il peut être dangereux de respirer dans certains endroits de Dakar.

De nouvelles données de l’Organisation Mondiale de la Santé alertent sur la pollution atmosphérique : l’air de certaines mégalopoles devient en effet irrespirable pour leurs habitants, en particulier en Asie et à ….Dakar

La ville de Dakar au Sénégal où l’on enregistre une pollution de l’air de 3 à 4 fois supérieure à la norme établie par l’Organisation mondiale de la santé, l’OMS.

Avec un taux de concentration moyen en particules fines PM10 de 146 microgrammes par mètre cube, ce qui fait de Dakar la deuxième ville la plus polluée du monde derrière New Delhi et devant des villes comme Mumbai, Pékin, Johannesburg, Jakarta, Téhéran…pas de quoi être fière.

La ville de Dakar figure, pour la première fois, dans le classement de la pollution urbaine de l’Organisation mondiale de la santé de 2017. Cette classification est confirmée les résultats des études menées par le Centre de gestion de la qualité de l’air à Dakar.

 

Plage Voile d’or

Journée du 10 mai …DSC03369

Après l’école ce matin … ou tous étaient extraordinairement absorbés

par l ‘activité … Apprendre à faire un courrier !

DSC03377Avec Luc et Leslie, nous avions besoin de repos et d ‘espace … La plage Voile d Or est privée, propre, à proximité du port !

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Jeux dans le sable pour les plus jeunes !!!