Nous partons très tôt à la découverte de la capitale, typique des pays en voie de développement (cohabitation des riches et des pauvres, construction en masse de quartiers d’affaires et buildings, agrandissement de la ville sur la mer grâce à un polder immense).
Nous rejoignons Colombo Fort pour prendre un café au World Trade Center local. Puis nous réalisons le tour du fort pour en voir les différents monuments et le port. Notons notamment la promenade dans l’old dutch hospital et un arrêt à Barefoot, boutique huppé sri lankaise.
Nous partons ensuite pour Pettah et son bazar, où chaque rue est dédiée à un type de marchandise (bijoux et or, nourriture, électronique, textile …). C’est aussi l’occasion de voir la magnifique mosquée de Pettah et Kotahena, très bien entretenue dans ce quartier plutôt délaissé. Nous remontons alors vers le nord, toujours dans l’ambiance très particulière du quartier pour voir l’église protestante Wolvendaal Church et les temples hindous, tout en ayant la chance de passer au milieu d’une des cérémonies bouddhistes.
Pour finir la matinée, nous reprenons le tuktuk pour Galle beach, beaucoup plus calme et aéré. Nous faisons un tour sur Slave Island, où les anciens quartiers des esclaves sont encore visible entre les buildings en construction.
Nous déjenons sur Galle Road au Crescat market, centre commercial le plus huppé de la ville. Il est constitué de centaine de petites boutiques, et trouvons le thé que nous recherchions.
En passant dans le quartier de Kollupitaya, nous prenons un peu de repos dans le parc Vihara Mahadevi Park avant de nous rendre à Odel, grande maison coloniale remplie de boutiques occidentales et de la boutique éponyme. Nous en profitons alors pour acheter des t-shirt sri-lankais.
Nous finissons la journée difficilement. Dans Cinnamon garden, quartier des anciennes grandes maisons coloniales et aujourd’hui des ambassades, nous cherchons et trouvons avec difficulté un bar servant des bières (bien méritées après 20 km de marche sous une chaleur écrasante !).
Puis nous mangeons au tacobell, grande chaîne américaine et mexicaine de fast food, que l’on ne trouve pas ironiquement en France.